Les blocages ont été levés mais des interrogations persistent. Parmi elles, la dérogation de l’obligation de mise en jachère de …

Cet article est paru en premier sur facebook.com

https://scontent-dus1-1.xx.fbcdn.net/v/t15.5256-10/424954345_359647726860140_6260081735475570353_n.jpg?_nc_cat=104&ccb=1-7&_nc_sid=1a7029&_nc_ohc=Q2pChGYpoi8AX83lsfN&_nc_ht=scontent-dus1-1.xx&edm=AJdBtusEAAAA&oh=00_AfDdPDVJf0jZWD3WNG_RePEQmmK05RU2DqzDkPXn6fSEbw&oe=65C26534

Les blocages ont été levés mais des interrogations persistent. Parmi elles, la dérogation de l’obligation de mise en jachère de 4% des surfaces agricoles.

La Commission européenne propose une alternative prévoyant l’introduction de 7% de cultures favorables à la biodiversité.

Olivier Despeyroux, vice-président de la FDSEA 10 explique pourquoi cette proposition n’est pas recevable.

Soyez le premier à commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*