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https://scontent-dus1-1.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/421962332_1076293843412493_1163683352957436495_n.jpg?stp=dst-jpg_p720x720&_nc_cat=103&ccb=1-7&_nc_sid=3635dc&_nc_ohc=V3tSdE3bAtYAX-22QR6&_nc_ht=scontent-dus1-1.xx&edm=AJdBtusEAAAA&oh=00_AfBHlLDFgSHc32deNv5pgSAd9jl27vtZiVKw-pf7iNGwOw&oe=65C8961BAprès plus d’une semaine de mobilisations d’une rare ampleur, dans la rue, sur les routes et jusqu’à Paris, les agriculteurs aubois ont repris le chemin des champs.
Non sans une certaine amertume. Si les promesses du Gouvernement français ont permis de lever les barrages qui bloquaient une partie du pays, les problèmes soulevés témoignent d’un malaise social comme économique profond, que de simples annonces ne suffiront pas à endiguer. S’ajoutent ces derniers jours, une sorte de flou autour des premières mesures promises par l’État, avec pour certaines, des signes inquiétants de rétropédalage.
Dans ce contexte vaporeux, et alors que Bruxelles souffle le chaud et le froid, notre journal revient sur ce mouvement de contestation largement suivi dans l’Aube et fait le point sur les enjeux de cet « entre-deux », au sein duquel la moindre petite étincelle pourrait raviver la flamme de la contestation agricole.
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